Le Gouverneur de la Province du Haut-Uele, Christophe Baseane Nangaa condamnes avec véhémence les émeutes organisées par des groupuscules d’inciviques qui ont vandalisé les différents postes de péage routes symboles de l’État notamment en territoires de Dingu, Faradje et Watsa il y a plus de 48heures et confirme que ces actes anticonstitutionnels ne resteront pas impunis.
Déclaration faite au cours d’un point de presse qu’il a ténu le vendredi 29 juillet de l’année en cours devant la presse isiroise.
De l’occasion, le patron de l’exécutif provincial a tenu à préciser à la presse que les revendications de la Fédération des Entreprises du Congo, FEC, Conseil Provincial du Haut-Uele au sujet de l’application de la taxe spéciale conventionnelle pour la reconstruction de la Province du Haut-Uele a été étudiée lors de l’atelier organisé à Isiro du 15 au 16 juillet dernier sous sa présidence, lequel atelier avait abouti à la signature d’un nouveau protocole d’accord intégrant les organisations de la Société Civile et la FENAPEC malgré la méfiance de certains contestataires à ce nouveau protocole d’accord.
Cependant, dans le souci de favoriser l’inclusivité précise le l’exécutif provincial, un nouveau communiqué a été lancé le mercredi dernier pour convoquer une nouvelle table ronde autour de ce document afin de privilégier la paix au sein de la communauté.
Abordant la question relative au rapport de l’IGF fait couler beaucoup d’encres et Salives dans le Haut-Uele, Christophe Baseane Nangaa rassure la presse qu’il y a eu une interprétation erronée ce rapport dont il était le seul destinataire malheureusement il s’est retrouvé sur la place publique justement à cause des ambitions politiques des uns et des autres.
Il ajoute que, l’instrumentalisation de ce dossier est à mettre dans le cadre des enjeux électoraux à venir.
Par ailleurs, non seulement le patron de la province invite tous ces Politiciens de la province à mener un combat loyal, il invite aussi les organisations de la société civile à privilégier la voie de dialogue en faisant confiance à l’autorité établie.
Occasion faisant larron, celui qu’on appelle CBN lance une fois de plus un appel pathétique à sa population de barrer la route à toute initiative susceptible de troubler la paix légendaire dans la province, gage de la stabilité et de la croissance économique historique que connaît son entité.
Dieu-merci Betima