L’ article publié dans un média en ligne kwetufm.net le lundi 27 mai 2024, fait état d’un scandale financier ébranle l’Institut Supérieur Technologique d’Isiro, “ISTI” impliquant son visionnaire, le Professeur Raphaël-Marie Masoki, le Professeur Benoît Katula Makiong et Monsieur Bebeto Samuel qui selon le media en ligne, le professeur Benoît Katula, Secrétaire Général académique, avait contracté une dette de 8.100$ auprès de Monsieur Bebeto Samuel pour régler les honoraires des professeurs visiteurs, agissant sous les directives du Professeur Masoki Atambana.
Tout en dénonçant une campagne de diffamation à l’endroit du promoteur de l’ISTI, le professeur Raphaël-Marie Masoki Atambana et de l’un de ses membres du Comité de Gestion, le Professeur Benoît Katula Makiong, Jean-Léonard Bombonayo met en garde les propagateurs de cet article dont la plupart se recrutent dans ses officines politiques ainsi que le propriétaire du site qui sont tous appelés à vérifier les informations avant de les publier afin d’éviter les malentendus et les quiproquos.
Il l’a fait savoir dans un communiqué de mise au point signé le 27 mai dont une copie est parvenue à la rédaction de ueleinfo24.info
Pour lui, ces allégations sont tout simplement truffées de mensonge et de mauvaise foi manifeste. La somme due au capitaine BEBETO Samuel était de 1.700$, arrondie à 2.700$ au motif des intérêts exigés par lui. Comme cela ne suffisait pas, le Professeur Benoît KATULA MAKIONG a été contraint de signer un document où les intérêts excessifs ont été exigés encore une fois par le capitaine BEBETO Samuel. C’est la raison pour laquelle la somme de 8.109$ est apparu, pourtant ne faisant pas partie du contrat initial.
Il ajoute que, le Capitaine BEBETO Samuel aurait dû le savoir d’ailleurs, il le savait tenant compte de son statut de militaire, qu’il n’a pas qualité de percevoir des intérêts égoïstes,indus et à la marge de la légalité.
En conclusion, Jean-Léonard confirme que dans le souci de favoriser la paix, l’ISTI demande au Capitaine BEBETO Samuel de revenir au contrat initial afin d’éviter que ce dossier ne prenne des tournures imprévisibles et vertigineuses.
Rédaction