Le jeune leader du territoire de Poko, Olivier Sekile Memeyo invite la population du Territoire de Poko dans la Province du Bas-Uele à se faire enrôler massivement car c’est la seule voie qui pourra augmenter le nombre de sièges dans cette partie du Territoire National.
Il a lancé cette invitation à l’issue d’un constat fait sur terrain, lequel constat confirme la faible participation de la population de cette entité au processus d’identification et d’enrôlement des électeurs.
Ce jeune leader et fondateur de la fondation qui porte son nom note que l’heure n’est plus au discours et qu’il est temps pour que la population du Territoire de Poko s’approprie ce processus en multipliant la sensibilisation pour que ce territoire parvienne à réaliser ses rêves.
” Mes frères et sœurs, l’heure n’est plus à la distraction, chacun en ce qui le concerne doit s’approprier ce processus de façon que le territoire de Poko sorte la tête haute aux échéances électorales de décembre 2023. Nous devons capitaliser la prorogation de 10 jours accordés par la CENI en vue d’orner nos statistiques”, déclare t-il
Cependant, il appel la société civile, les ONG, les églises, les écoles, les autorités locales, les jeunes intellectuels, etc, à organiser des conférences débats, des meetings dans l’objectif de multiplier des séances de sensibilisations pour faire comprendre chacun son droit civique.
Dans le souci de rendre pragmatique son appel pathétique aux fils et filles de ce coin à se faire enrôler massivement, Olivier Sekile Memeyo à travers sa fondation initie beaucoup de conférences débats, des campagnes des sensibilisations pour permettre à la population de cette juridiction de comprendre le bien fondé de l’enrôlement.
Pour exprimer son soutien indéfectible à son territoire, ce jeune leader a sacrifié ses maigres moyens pour faciliter le transport des fils et filles originaires du Territoire de Poko vivant dans la ville d’isiro ainsi que certains étudiants basés toujours à isiro à se faire enrôler dans la chefferie Kipate, située en Province du Bas-Uele.
Dieu-merci Betima